A la fin des années 70, Arthur Laffer illustre l’idée selon laquelle il existe un niveau maximal de taxation au delà duquel le produit de l’impôt diminue. Avant « t », une augmentation de la pression fiscale engendre un hausse des recettes pour l’Etat. Après ce point, l’effet désincitatif sur l’offre de travail l’emporte sur les recettes attendues.
« Trop d’impôts tuent l’impôt » et « Les hauts taux tuent les totaux » : mais comme aucune étude empirique n’a été effectuée, personne ne peut situer précisément ce taux, et ce dernier ne sera pas constant, car les besoins d’un Etat ne sont pas toujours les mêmes.
Les théoriciens de l’offre avancent que le moyen d’action essentiel est la réduction des impôts, qui permet de diminuer le poids des charges fiscales sur les entreprises et de réduire la pénalisation du travail et de l’épargne.
Pour ces économistes, il convient, parallèlement, de diminuer les charges de l’Etat-Providence, qui sont à l’origine de la hausse d’impôts. (Années 80, politique de Reagan aux Etats-Unis).
« Trop d’impôts tuent l’impôt » et « Les hauts taux tuent les totaux » : mais comme aucune étude empirique n’a été effectuée, personne ne peut situer précisément ce taux, et ce dernier ne sera pas constant, car les besoins d’un Etat ne sont pas toujours les mêmes.
Les théoriciens de l’offre avancent que le moyen d’action essentiel est la réduction des impôts, qui permet de diminuer le poids des charges fiscales sur les entreprises et de réduire la pénalisation du travail et de l’épargne.
Pour ces économistes, il convient, parallèlement, de diminuer les charges de l’Etat-Providence, qui sont à l’origine de la hausse d’impôts. (Années 80, politique de Reagan aux Etats-Unis).