Economie2000 |
Les limites du marché peuvent être les suivantes :
Externalités : Les marchés ignorent souvent les coûts et les bénéfices externes associés à une activité économique. Par exemple, une entreprise peut polluer l’environnement sans en supporter les coûts, ce qui crée une externalité négative.
Biens publics : Certains biens, tels que la défense nationale ou la recherche scientifique fondamentale, ne sont pas facilement fournis par le marché car ils sont non exclusifs et non rivaux.
Cela signifie que les individus ne peuvent pas être exclus de leur consommation et qu’une personne qui en bénéficie ne diminue pas la disponibilité du bien pour les autres.
Inégalités : Les marchés peuvent générer des inégalités de revenus et de richesse, car ceux qui ont des ressources et des capacités supérieures sont en mesure de profiter davantage des opportunités du marché.
Défaillances du marché : Les marchés ne sont pas toujours efficaces et équitables. Il peut y avoir des situations d’asymétrie d’informations, de monopoles, d’oligopoles ou de concurrence déloyale qui entraînent des distorsions et des inefficiences économiques.
Biens communs : Les ressources naturelles communes, telles que l’air, l’eau et les forêts, peuvent être surexploitées ou épuisées dans un marché non réglementé.
Volatilité : Les marchés peuvent être sujets à des fluctuations et à des cycles économiques qui peuvent conduire à des crises financières et à des instabilités économiques.
Objectifs sociaux : Les marchés peuvent ne pas tenir compte des objectifs sociaux tels que la justice sociale, la protection de l’environnement ou la satisfaction des besoins essentiels de la population.
Il convient de noter que ces limites ne remettent pas en cause l’importance du marché en tant qu’instrument économique, mais soulignent simplement ses insuffisances et la nécessité de réglementation, de politiques publiques et de mesures correctives pour atteindre des résultats socialement souhaitables.
Externalités : Les marchés ignorent souvent les coûts et les bénéfices externes associés à une activité économique. Par exemple, une entreprise peut polluer l’environnement sans en supporter les coûts, ce qui crée une externalité négative.
Biens publics : Certains biens, tels que la défense nationale ou la recherche scientifique fondamentale, ne sont pas facilement fournis par le marché car ils sont non exclusifs et non rivaux.
Cela signifie que les individus ne peuvent pas être exclus de leur consommation et qu’une personne qui en bénéficie ne diminue pas la disponibilité du bien pour les autres.
Inégalités : Les marchés peuvent générer des inégalités de revenus et de richesse, car ceux qui ont des ressources et des capacités supérieures sont en mesure de profiter davantage des opportunités du marché.
Défaillances du marché : Les marchés ne sont pas toujours efficaces et équitables. Il peut y avoir des situations d’asymétrie d’informations, de monopoles, d’oligopoles ou de concurrence déloyale qui entraînent des distorsions et des inefficiences économiques.
Biens communs : Les ressources naturelles communes, telles que l’air, l’eau et les forêts, peuvent être surexploitées ou épuisées dans un marché non réglementé.
Volatilité : Les marchés peuvent être sujets à des fluctuations et à des cycles économiques qui peuvent conduire à des crises financières et à des instabilités économiques.
Objectifs sociaux : Les marchés peuvent ne pas tenir compte des objectifs sociaux tels que la justice sociale, la protection de l’environnement ou la satisfaction des besoins essentiels de la population.
Il convient de noter que ces limites ne remettent pas en cause l’importance du marché en tant qu’instrument économique, mais soulignent simplement ses insuffisances et la nécessité de réglementation, de politiques publiques et de mesures correctives pour atteindre des résultats socialement souhaitables.