C’est le fondateur de l’école marginaliste de Vienne.
En même temps que Jevons et que Walras, dans « Fondements de l’économie « , 1874, il formule une nouvelle théorie de la valeur qui, mettant l’accent sur son fondement psychologique, prétend la déterminer non plus par le coût moyen nécessaire à la production des biens (théorie classique), mais par l’utilité de la dernière unité disponible de ces biens (utilité marginale).
Ses « Principes d’économie politique » constituent l’un des ouvrages majeurs de l’école marginaliste.
Il est l’un des fondateurs de l’individualisme méthodologique, présentant l’être humain comme un être parfaitement rationnel cherchant à maximiser sa satisfaction (l’être humain ainsi considéré est parfois appelé homo-oeconomicus).
En même temps que Jevons et que Walras, dans « Fondements de l’économie « , 1874, il formule une nouvelle théorie de la valeur qui, mettant l’accent sur son fondement psychologique, prétend la déterminer non plus par le coût moyen nécessaire à la production des biens (théorie classique), mais par l’utilité de la dernière unité disponible de ces biens (utilité marginale).
Ses « Principes d’économie politique » constituent l’un des ouvrages majeurs de l’école marginaliste.
Il est l’un des fondateurs de l’individualisme méthodologique, présentant l’être humain comme un être parfaitement rationnel cherchant à maximiser sa satisfaction (l’être humain ainsi considéré est parfois appelé homo-oeconomicus).