Economiste « pessimiste », il s’oppose à l’optimisme de Smith et Say par sa théorie de la population: cette dernière croît comme une suite géométrique, alors que les ressources augmentent à un rythme arithméthique.
L’Europe occidentale est en effet au seuil de la transition démographique qui la conduira vers le régime de basse natalité et de basse mortalité que nous connaissons aujourd’hui.
La croissance régulière est, de ce fait, impossible, et l’avenir est sombre si on ne limite pas la croissance démographique.
Cette « loi de Malthus » est reprise par Marx, qui distingue la valeur de la force de travail et le produit de la force de travail.
Dans son « Essai sur le principe de population » (1798), Malthus développe une analyse anti- interventionniste en matière sociale.
« Les lois des pauvres …créent les pauvres qu’elles assistent.. ».
Le seul remède à la pauvreté ne peut venir que des pauvres eux-mêmes : davantage d’épargne, moins d’enfants …
L’Europe occidentale est en effet au seuil de la transition démographique qui la conduira vers le régime de basse natalité et de basse mortalité que nous connaissons aujourd’hui.
La croissance régulière est, de ce fait, impossible, et l’avenir est sombre si on ne limite pas la croissance démographique.
Cette « loi de Malthus » est reprise par Marx, qui distingue la valeur de la force de travail et le produit de la force de travail.
Dans son « Essai sur le principe de population » (1798), Malthus développe une analyse anti- interventionniste en matière sociale.
« Les lois des pauvres …créent les pauvres qu’elles assistent.. ».
Le seul remède à la pauvreté ne peut venir que des pauvres eux-mêmes : davantage d’épargne, moins d’enfants …