1913 : "Crises périodiques de surproduction ", ouvrage
dans lequel il met en évidence l’accélérateur à
partir d’une analyse de l’industrie textile. Il met en avant l’effet
accélérateur.
1922 : "Les fondements du socialisme ". De tendance réformiste, il a étudié le cycle des affaires, expliquant les crises économiques par un accroissement de la demande de biens de production plus important que celle des biens de consommation.
L’allongement du détour de production (cf Böhm-Bawerk) permet d’accroître la productivité du travail mais présente le défaut de favoriser périodiquement un phénomène de "surcapitalisation" qui précipite une crise de surproduction. Pour effectuer sa démonstration littéraire, il a utilisé la parabole du poêle à charbon par laquelle il compare l’économie à une pièce chauffée au charbon. Quand l’occupant a froid, il garnit le poêle et il faut un certain temps avant que le charbon ne brûle. Quand la combustion est au plus haut point, il fait très chaud dans la pièce et on n’ajoute plus de charbon jusqu’au moment où le feu tombe ainsi que la température et qu’il faut alors recharger le poêle.
Il y a un décalage entre le cycle de l’activité économique et l’investissement. C’est l’effet d’accélération.
1922 : "Les fondements du socialisme ". De tendance réformiste, il a étudié le cycle des affaires, expliquant les crises économiques par un accroissement de la demande de biens de production plus important que celle des biens de consommation.
L’allongement du détour de production (cf Böhm-Bawerk) permet d’accroître la productivité du travail mais présente le défaut de favoriser périodiquement un phénomène de "surcapitalisation" qui précipite une crise de surproduction. Pour effectuer sa démonstration littéraire, il a utilisé la parabole du poêle à charbon par laquelle il compare l’économie à une pièce chauffée au charbon. Quand l’occupant a froid, il garnit le poêle et il faut un certain temps avant que le charbon ne brûle. Quand la combustion est au plus haut point, il fait très chaud dans la pièce et on n’ajoute plus de charbon jusqu’au moment où le feu tombe ainsi que la température et qu’il faut alors recharger le poêle.
Il y a un décalage entre le cycle de l’activité économique et l’investissement. C’est l’effet d’accélération.