Connu dans le domaine de la consommation avec les lois d’ENGEL selon lesquelles lorsque le revenu augmente, la part des dépenses consacrées à l’alimentation diminue, celle consacrée à l’habillement et au logement reste identique et la part des dépenses consacrées aux loisirs, à la santé et à l’éducation s’accroît.
Quand on étudie les coefficients budgétaires, on constate que la part dévolue à l’alimentation et à l’habillement diminue constamment alors que la part consacrée au logement, aux transports et aux télécommunications s’accroît continûment.
Pour les dépenses de santé, de culture et d’éducation, l’évolution est masquée par le fait qu’il s’agit principalement de consommations effectuées dans le cadre des services rendus par les administrations publiques (APU).
En tenant compte de cela, leur part augmente manifestement.
Quand on étudie les coefficients budgétaires, on constate que la part dévolue à l’alimentation et à l’habillement diminue constamment alors que la part consacrée au logement, aux transports et aux télécommunications s’accroît continûment.
Pour les dépenses de santé, de culture et d’éducation, l’évolution est masquée par le fait qu’il s’agit principalement de consommations effectuées dans le cadre des services rendus par les administrations publiques (APU).
En tenant compte de cela, leur part augmente manifestement.